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Le prãna et le taux vibratoire


Notre monde change, l’humanité est en mutation, ce n’est plus une utopie pour personne et les événements s’accélèrent.

L’augmentation croissante du taux vibratoire de notre planète prédispose, sans cesse, un grand nombre d’humains à l’Eveil.


Des femmes et des hommes s’éveillent tous les jours, ou plus précisément empreinte le chemin qui mène vers l’Eveil. Ce déclic, ce basculement qui s’opère en nous et change progressivement et définitivement notre vision de la Vie ainsi que celle de notre monde, peut être amené par différents biais.


Par le fait d’une rencontre, par une discussion, par la lecture d’un ouvrage, les interrogations qui prendront, à ce moment, place en nous en amèneront d’autres et nous mènerons vers la quête d’une vie.


Le chemin de l’Eveil n’est pas un long fleuve tranquille, loin de là, car il mettra à mal toutes nos croyances jusqu’à sans libérer, élèvera nos vibrations et nous éloignera de certaines personnes, et laissera régulièrement place au doute.


Mais dans notre quête nous pouvons compter et nous appuyer sur un puissant allié, le prãna.


Pourquoi le prãna serait-il un allié et qui y a t’il derrière ce mot ?


Pour ceux qui découvre ce terme, le prãna est un mot issu du sanskrit, qui définit l’énergie universelle qui nous entoure, dans lequel nous baignons et qui compose toute chose. Par essence le prãna est le corps du Divin, il enferme en son centre une partie plus lumineuse qui est l'Akasha.


Sans le prãna la vie ne pourrait pas être.

On l'assimile de différentes manières, par la respiration principalement, au contact de notre peau et par la nourriture.


Mais à cela, nous pouvons également ajouter que l’on peut aussi l’observer et l’entendre...


Certains se poseront la question « mais à quoi ça sert d’entendre et de voir le prâna ? »


Et bien mes ami(e)s, être en capacité de le voir et l’entendre à tout moment nous rappelle en une fraction de seconde que la vie est toute autre, que derrière les apparences de cette densité qui nous submergent, de ce monde de matière, d’autre chose de plus grand existe.


Que l’ensemble nos corps sont la demeure du Rayonnant, qu’il y circule et les nourrit à chaque instant, que son souffle qui chante en nous, nous rappelle que nous ne faisons qu’un avec lui, que nous sommes tous une partie de Lui et qu’en ceci nous ne faisons qu’Un.


Nous pouvons donc observer le prâna et sûrement que vous l'avez déjà fait sans le savoir. Lors de son observation, nous le percevons sous la forme de petits grains lumineux qui s'agitent de façon erratique sans jamais se toucher. Très souvent nous pouvons percevoir comme une petite queue derrière son déplacement, ce n'en est pas une, c'est en réalité une trace réalisée par le grain de prãna dans l’éther (l’éther est considéré aujourd’hui comme le cinquième élément dans lequel toute chose, tout notre monde, notre univers baigne), cette trace ne demeure observable que peu de temps car l'éther comble la trace rapidement après son passage.


En réalité nous ne percevons qu'une partie de leur déplacement, celui-ci est basé sur la forme d'une lemniscaste (signe de l'infini), dont nous n’en voyant qu’une partie.


Exercice :

* La meilleure façon de l'observer est par beau temps (ciel bleu), faire en sorte d'être à l'ombre et le soleil derrière soi, pour éviter l'éblouissement. Il faut laisser aller son regard sans rien fixer de précis, vous pouvez aussi plisser un peu les yeux, après quelques instants, vous verrez des petits grains s'agiter. Plus vous laisserez aller votre regard et plus ils apparaîtront lumineux. On peut l'observer aussi très facilement par temps gris ou brouillard.


Enfant, j'adorais l'observer depuis la fenêtre de ma chambre confortablement allongé dans mon lit. Je le fais toujours quand l'occasion se présente, car le contraste produit par une pièce peu éclairé le rend facilement observable.


Nous pouvons également écouter le son du prāna qui circule en nous. Ce son est basé sur la note du "SI", mais en réalité c'est un peu plus qu'une note, c'est plutôt une harmonie basée sur le "SI". Ce son n'est pas un bourdonnement, bien au contraire c'est un son clair, agréable et limpide, il se situe au point central de votre tête.


Si j'avais à en faire sa représentation, à l'imager, je le définirais comme la flamme d'une bougie, car à l'instar de celle-ci il peut s'étirer, diminuer et vassiller.


Si vous ne l'entendez pas naturellement, vous pouvez aller le chercher, c'est ce que j'ai fait à la suite de la lecture d'un livre il y a de nombreuses années. Ce son, une fois que vous aurez trouvé le chemin pour y accéder, restera définitivement en vous.


Exercice:

* Le mieux est d’essayer cette pratique le soir au coucher, il y aura ainsi moins de bruit autour de vous qui pourrait vous perturber. Allonger vous confortablement sur le dos et porter votre attention au centre de votre tête, il est possible que vous l’entendiez aussitôt, mais si ce n’est pas le cas maintenez votre attention un certain temps, cela peut se manifester fébrilement comme un tout petit point qu’il faudra laisser croître. Si vous ne l’entendez pas, arrêter et remettez l’exercice au lendemain. Il ne faut aucune capacité particulière, ceci est accessible à tous sans exception, ne rien forcer laissez venir et le son viendra à vous.


Lorsque nous sommes dans le mental, que celui-ci est capté par notre quotidien le son s'efface, dès que nous nous recentrons sur nous-mêmes, que nous prenons de la hauteur, le son du prãna revient aussitôt au premier plan.


L’assimilation consciente du prâna permet l’augmentation du taux vibratoire de l’ensemble de nos corps. La densité et la qualité du prâna se trouvent être plus important en pleine nature, dans les forêts ou au bord de l’eau, d’ailleurs lorsque nous sommes dans ces lieux nous sentons naturellement un certain bien-être s’installer.


Une petite pratique, qui m’est régulière et que j’ai fait mienne quotidiennement et de conjuguer l’observation, l’écoute et la respiration consciente du prâna.

Je vais dans la nature marcher accompagné de mon compagnon à quatre pattes, observer la Lumière (le prâna), la nature qui vie entour de moi, l’aire et cette Lumière qui pénètrent en mon corps et la sensation qu’ils m’apportent. Je marche en prenant conscience de chaque pas que je fais et la chance que j’ai, la chance que je me suis donné d’être là et je laisse la joie m’envahir.

C’est aussi et toujours lors ces instants de plénitude que des ouvertures de conscience se produisent.


Le prâna est également le socle des soins énergétiques.

Soins Esséniens.


Bonnes pratiques

Fraternellement.

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